Île Maurice : le groupe Rogers crée une charte de développement durable


Le groupe mauricien Rogers, créé en 1899, contribue par son ancienneté au développement de l'île Maurice, et même au-delà avec une présence à la Réunion, à Madagascar, dans l'Union des Comores, à Mayotte, au Mozambique, au Kenya et en France. Cette forte présence régionale lui a conféré une nouvelle responsabilité en cette période de défiance pour l'économie : climat, développement durable, social, biodiversité, ... Le groupe vient de présenter sa charte de développement durable pour accompagner ses filiales vers une relance économique post-Covid-19, l'île Maurice n'ouvrant ses frontières qu'en janvier 2021.





Avec 5.030 collaborateurs éparpillés dans ses multiples filiales dans l'hôtellerie, l'aviation, la logistique, la fintech, ou l'immobilier, le groupe Rogers a réalisé en 2019 un chiffre d'affaires de 257,42 millions de dollars, en hausse de 10% par rapport à l'année précédente. En attendant les résultats de 2020, certainement en contraction, le groupe Rogers s'est attelé à présenter et à mettre en œuvre une charte de développement durable afin d'accompagner ses 110 unités régionales pour un avenir social et économique inclusif.





Cette charte sera sous le contrôle d'un comité du conseil d'administration du groupe avec un axe clair : durabilité et inclusivité.





Philippe Espitalier-Noël (photo), CEO du groupe Rogers, a ainsi expliqué cet engagement : "Il est de notre responsabilité de guider notre pays, ainsi que les communautés au sein desquelles nous exerçons nos activités, vers un avenir plus prospère et plus sûr. Ce voyage est aussi marqué par l’innovation disruptive, par le désir stimuler la créativité et la passion au sein de nos équipes et d’exploiter la technologie pour rendre le monde meilleur".





La charte de développement durable du groupe Rogers se déploie ainsi pour toutes ses activités dans toutes ses filiales :





• Climat : assurer une transition vers la neutralité carbone,





• Biodiversité : préserver et protéger les espèces marines et terrestres locales,





• Economie circulaire : réduire la production de déchets et recycler les trois quarts des déchets générés,





• Développement inclusif : employer davantage d’habitants de la région et contribuer à réduire les poches de pauvreté dans les zones où le groupe exerce ses activités, et





• Communautés dynamiques : œuvrer à une meilleure intégration des communautés locales et favoriser le développement de pratiques de construction plus responsables et plus durables.


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