Veiller à ce que les jeunes talents aient accès aux compétences et à l'état d'esprit nécessaires pour débuter dans un monde en évolution rapide, telle est l’ambition affichée de l’entreprise Huawei en mettant sur orbite le programme « Seeds For The Future ».
Programme mondial, « Seeds For The Future » a plus particulièrement été déployé en Afrique du Nord en 2014, avec pour objectif de faire émerger, puis d’accompagner les jeunes talents dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC). « Nous voulons offrir à nos jeunes talents les meilleures opportunités STEM possibles et les aider à réaliser leurs rêves et à contribuer au monde », a ainsi assuré l’entreprise lors des Assises de la Transformation Digitale en Afrique (ATDA) à Madagascar, affirmant aussi que les jeunes talents férus de technologies et résilients au changement méritent toutes les chances de réussir dans l'avenir digital qui se dessine.
Ainsi, chaque année, Huawei rassemble des jeunes talents internationaux issus des meilleures universités dans le cadre de ce programme. Dans la région Northern Africa plus précisément, quelque 2 100 jeunes Africains de 21 pays y ont déjà pris part et plus de 500 s’étaient rendus en Chine pour recevoir une formation avant la crise de la Covid-19. Une opportunité pour découvrir les technologies de pointe développées par l’entreprise et perfectionner ses compétences et connaissances dans le secteur du numérique.
« Huawei offre aux étudiants des opportunités d'examiner de plus près la technologie », a-t-on aussi fait savoir avant de souligner que ce programme phare mondial de RSE de Huawei vise avant tout à améliorer le transfert de connaissances, à promouvoir une meilleure compréhension et un plus grand intérêt pour le secteur des IT, et à améliorer et encourager la participation à la communauté numérique.
Aussi, les étudiants sélectionnés sont invités à discuter des tendances futures et sont épaulés pour apprendre à mieux exploiter les nouvelles opportunités offertes par le numérique. « Le programme représente le désir de Huawei de former de jeunes professionnels prometteurs », aime-t-on aussi à rappeler. En 2020, la crise pandémique a poussé l’entreprise dont le siège se trouve à Shenzhen à organiser le programme en ligne afin de maintenir la formation en temps réel et par-delà les frontières et ainsi faire en sorte que les étudiants préservent leurs chances d’apprendre et d’expérimenter de manière continue.
Cybersécurité doit rimer avec capital humain
Youssef Ait Kaddour, Chief Cybersecurity and Privacy Officer chez Huawei Maroc, lors de la 12ème édition des Assises de la Transformation Digitale en Afrique (ATDA 2023) s’étant dernièrement tenue à Madagascar, s’est notamment exprimé sur la sous-thématique suivante « Cybersécurité et capital humain ». Il n’a pas manqué de rappeler les ambitions du programme « Seeds for the Future ». Le conférencier a affirmé que l’accompagnement par l’entreprise chinoise du continent africain dans sa transformation numérique se décline en divers programmes spécialisés avec pour objectif commun de former les jeunes talents aux nouvelles technologies de pointe. « Il permet, entre autres, aux étudiants de bénéficier d’un cours d’introduction à la cybersécurité et à l’approche développée par Huawei dans ce domaine », a-t-il aussi expliqué en prenant exemple sur l’édition 2021 de Seeds For The Future au Mali.
En effet, pour l’entreprise, il est plus qu’indispensable d’encourager la formation de nouvelles compétences dans le domaine de la cybersécurité. « A travers les programmes de formation que nous déployons, nous avons pour objectif de former les jeunes talents dans les meilleures conditions. La cybersécurité y occupe de plus en plus une place de choix, comme le démontre l’édition Seeds for the Future organisé au Mali en 2021 ».
Parallèlement, Huawei encourage la sensibilisation et la formation en cybersécurité pour ses employés et ses partenaires, ainsi que pour le grand public. Une initiative qui s’inscrit dans le cadre de l’implémentation d’un système d’assurance de cybersécurité de bout en bout qui, selon Huawei, lui permet de « gérer méthodiquement les risques de sécurité et d’améliorer continuellement la cyber résilience ». Le principe élémentaire en matière de cybersécurité reposant sur trois piliers : ne rien supposer, ne rien croire, tout vérifier.
Les activités de Huawei en Afrique sont regroupées en deux entités géographiques afin de mieux répondre aux besoins et demandes des populations, respectivement Huawei Northern Africa et Huawei Southern Africa. Huawei Northern Africa comprend les 28 pays au-dessus de l’équateur, essentiellement francophones. Quant à Huawei Southern Africa, l’entité regroupe les autres pays sur le continent, dont les Îles de l’Océan indien telles que Madagascar, Maurice et Les Seychelles.
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